Entrons ensemble en Avent

Chers amis de la paroisse,

Dimanche prochain nous entrerons dans l’Avent, ce temps que la liturgie nous offre pour nous préparer à accueillir la venue de Dieu sur terre.

Pour que notre cœur devienne cette terre d’accueil, nous vous proposons 2 grands axes : célébrer et agir.

Célébrer

Entrons ensemble en Avent

Ce dimanche 28 novembre nous vous proposons d’entrer tous ensemble en Avent lors d’une messe unique à 11h00.

Ce premier jour de la nouvelle année liturgique sera également celui de l’introduction du nouveau missel romain en français.  Qu’est-ce que cela signifie pour nous ? Quels sont les changements, en particulier ceux qui concernent l’assemblée ? Vous voulez en savoir plus ? Rendez-vous à l’église à 9h45. Ce temps sera l’occasion de redécouvrir la beauté de la liturgie.

Cette célébration festive se terminera par un vin (ou un chocolat) chaud proposé dans les jardins de la cure.

Au programme :

9h45 : accueil à l’église

10h00 :  petit temps d’enseignement sur la beauté de la messe

11h00 : messe unique du premier dimanche de l’Avent

12h00 : vin (ou chocolat) chaud dans les jardins de la cure.

Agir

Contre la pauvreté je choisis la solidarité

Cette année, nous vous proposons de vivre ce temps de préparation dans la solidarité en partant à la découverte d’une association qui existe à Braine-l’Alleud depuis un peu plus de 160 ans.  Tout au long des 4 dimanches de l’Avent nous vous suggérerons des petits gestes qui permettront de faire de notre paroisse un cœur solidaire. Mais nous ne vous en disons pas plus… Rendez-vous le 28 novembre.

Ce jour-là, le soir venu, Jésus dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive »

(Mc, 4, 35)

Cette invitation de Jésus à passer sur l’autre rive, nous concerne tous à l’un ou l’autre moment de notre vie. Celle-ci est en effet faite de « passages ». Passage de l’enfance à l’adolescence, de l’adolescence à l’âge adulte et de l’âge adulte à un âge plus avancé… Il y a aussi tous ces autres passages d’une région à un autre, d’un pays à un autre, d’un état de vie à un autre… Tous ces passages qui nous préparent à ce grand passage de ce monde à la Maison du Père que nous ferons tous un jour.

Si Jésus dit « passons » et non « passez » sur l’autre rive, c’est parce qu’il est avec nous dans nos passages !

A l’occasion de mon passage de Braine-l’Alleud à Tubize, je vous invite

le mercredi 25 août

à une marche entre ces deux communes. Une marche pour vivre dans la confiance, la prière et la fraternité les divers passages de notre vie. Cette marche se terminera par un barbecue à 18h30 à la salle paroissiale « Gynkgo » située rue de Nivelles 4 à Tubize.

Bienvenue à tous ! Vous trouverez ci-dessous tous les détails pratiques.

Abbé Alain de Maere, curé en transition.

Au programme

7h30 : temps de prière à l’église Saint-Etienne de Braine-l’Alleud

8h00 : départ de la marche devant l’église

12h30 : messe à l’église Saint-Rémy à Ittre

13h00 : pique-nique dans la salle « le lion d’argent », rue des digues à Ittre.

14h15 : départ pour la suite de la marche

18h30 : barbecue à la salle Ginkgo à Tubize

Comment participer ?

Vous pouvez nous rejoindre à tout moment selon les étapes. 

L’entièreté de la marche fait 27km.

Chapelle Notre-Dame-des-Belles-Pierres (4km) autour de 9h30

Abbaye de Bois-Seigneur-Isaac (8km depuis Braine) autour de 11h30

Église Saint-Rémy d’Ittre (13km depuis Braine ou 5km depuis BSI) autour de 12h30

Messe à partir de 12h30

Pique-nique à partir de 13h

Départ vers l’étape suivante à 14h15

Église de Oisquercq (20 km depuis Braine ou 7 km depuis Ittre ou 7 km vers Tubize) autour de 16h

Parcours Vita à Tubize (autour de 17h00) allée des sports 7 à Tubize.

Vous comprendrez que nous ne pouvons pas être plus précis quant aux heures de rendez-vous, celles-ci dépendant essentiellement de la vitesse de marche du groupe. Pour savoir où nous en sommes, vous pouvez nous appeler sur le gsm de Charlotte 0479/686.686.

Possibilité d’être reconduit depuis Tubize à Oisquercq, Ittre, Bois-Seigneur-Isaac et Braine-l’Alleud après le Barbecue.

Si vous ne pouvez pas marcher,

  • vous pouvez nous rejoindre pour la messe et le pique-nique à12h30 à l’église Saint-Rémy d’Ittre
  • à 18h30 pour le barbecue à la salle Ginkgo (rue de Nivelles 4 à Tubize).

Inscription et PAF pour le barbecue :

Inscription avant le 20 août par mail chez Marc Van Beneden. marc.vanbeneden@gmail.com   (0470/26 69 56)

Paf de 10 € (boissons non comprises) à verser sur le compte de l’AOP : BE34 0010 1309 6490 avec la mention : « marche vers Tubize »

Ce jour là peut être aussi une journée de dé-marche.

  • Par un parrainage

Pour vivre cette dé-marche en solidarité avec les victimes des inondations, nous vous proposons de verser la somme que vous désirez par km, sachant que la marche fait 27 km.

Ce montant peut être versé sur le compte de l’AOP BE34 0010 1309 6490 avec la mention « marche solidaire ».

  • Par un temps de partage autour de textes bibliques

Un petit feuillet vous sera proposé à l’entrée de l’église Saint-Etienne et sur le site de la paroisse.

Comment nous aider ?

Nous aurons besoin d’un petit coup de main (probablement à partir de 14h)

  • Pour installer et /ou gérer le barbecue
  • Pour préparer la salle  Et ensuite  pour le rangement/vaisselle…
  • Pour préparer et/ou apporter des salades

Vous pouvez proposer votre aide à Marc Van Beneden marc.vanbeneden@gmail.com   (0470/26 69 56)

Merci à tous !

Temps de prière: solennité du Saint- Sacrement

Vous trouverez ici le temps de prière de ce dimanche.

Texte de l’homélie

Nous connaissons cette parole de Saint Augustin au moment où il donne la communion : « devenez ce que vous recevez : le corps du Christ »

Si saint Augustin commence par dire : devenez c’est pour dire qu’il y a tout un processus, une série d’étapes pour devenir ce que nous recevons : le corps du Christ.

Le dictionnaire définit ainsi le mot « devenir » : c’est un mouvement par lequel une chose, un être se forme ou se transforme.

A la lumière de cette définition, nous comprenons que ce qui nous transforme en corps du Christ c’est un mouvement.

Pour découvrir quel est ce mouvement qui nous transforme en corps du Christ, regardons comment le pain de l’eucharistie est transformé en corps du Christ car c’est de la même manière que nous devenons ce que nous recevons : le corps du Christ.

Le pain est tout d’abord déposé : dans la célébration de l’eucharistie, le pain est déposé sur une patène. La patène (du latin patena, plat, dérivant lui-même du grec patani, écuelle) est une petite assiette sur laquelle repose le pain qui va être consacré lors de la messe.

Nous aussi pour devenir ce que nous recevons : le corps du Christ, nous sommes appelés à être déposé dans la mangeoire. C’est Mgr Desfarges, l’archevêque d’Alger qui, faisant référence à Marie qui à Noël déposa Jésus dans une mangeoire, dit que notre Eglise est dans la mangeoire. Nous sommes l’Eglise de la mangeoire. L’Esprit et Marie nous déposent et nous disposent, faisant de nos vies des vies livrées par amour. La mangeoire évoque donc déjà la patène. L’Eglise, comme son Seigneur, est appelée à être totalement à la disposition de ceux auxquels elle est envoyée, donnée. C’est dire qu’au moment où le pain est déposé sur la patène pour être présenté et offert à Dieu, nous sommes invités à nous offrir par ce pain, avec ce pain et en ce pain.

Le pain ainsi déposé est sanctifié

Lors de l’eucharistie, c’est sur ce pain déposé dans la patène pour être présenté à Dieu que l’Esprit-Saint est invoqué pour qu’il devienne le corps du Christ non pas temporairement mais éternellement.

Tout comme sur le pain, sur nous aussi, l’Esprit Saint est invoqué pour que nous devenions une éternelle offrande : « Que l’Esprit Saint fasse de nous une éternelle offrande »

Le pain déposé, sanctifié est ensuite rompu pour être offert à tous

Si le pain devenu corps du Christ est rompu c’est pour être donné. L’Eucharistie fait ainsi de notre Eglise, de chacune et chacun de nous un signe de la présence livrée du Christ pour signifier le don de l’Amour de Dieu qui veut rejoindre tous les hommes.

Quand Jésus nous fait le don de son corps et de son sang c’est-à-dire de sa personne il précise bien en s’adressant à ses disciples : ceci est mon corps livré, ceci est mon sang versé pour vous et pour la multitude.

C’est dire que Jésus ne limite pas le don de sa vie, le don de son Amour à ceux qui sont présents à l’eucharistie devant lui mais que son Amour, il l’offre à toute l’humanité.

En communiant au Corps du Christ, nous sommes nous aussi appelés à cet Amour sans limites, à cet Amour qui va bien au-delà des frontières dressées par les hommes. Nous sommes appelés à un Amour sans frontières.

Temps de prière du dimanche de la sainte Trinité

Cliquez ici pour écouter le temps de prière

Texte de l’homélie

Homélie dimanche de la Sainte Trinité

Il y a deux chemins : celui de la suspicion et celui de la confiance, celui de l’esclave et celui du fils, celui d’Adam et celui du Christ. Il y a en nous deux réalités : l’ivraie et le bon grain, celle de notre condition humaine marquée par le péché et celle de notre condition humaine déjà participante de la vie divine, celle d’Adam et celle du Christ. Adam a désobéi, il a eu peur et s’est laissé entrainé dans les méandres du soupçon : il a perdu sa liberté de fils. Jésus-Christ a obéi à son Père, il a fait confiance jusqu’au bout et nous invite, avec lui, a appelé Dieu « Abba » comme des fils et des filles qui ont foi dans la bonté divine. C’est le sens de cet extrait de la lettre aux Romains que nous venons d’entendre : dans l’Esprit Saint, avec et dans le Christ, nous crions : « Abba », Père ! Dieu n’est pas un maître omnipotent et nous ses esclaves. Il est Père et veut notre bonheur.

L’être humain est fait pour le bonheur. L’accomplissement parfait du bonheur, auquel nous participons déjà en germe depuis le jour de notre baptême, se vivra dans le brasier lumineux du cœur de la Sainte Trinité. Car tel est notre destinée, si nous acquiesçons au salut offert par Dieu : vivre pour l’éternité au cœur de la Trinité, autrement dit dans la joie sans fin du Ciel où il n’y a plus ni deuil, ni gémissement, ni douleur, mais la joie et la paix pour les siècles sans fin.

Nous fêtons aujourd’hui la solennité de la sainte Trinité. Dans l’Évangile que nous venons d’entendre, le Christ envoie ses apôtres avec pour mission de faire des disciples de toutes les nations en les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, autrement dit en les « plongeant » dans la Sainte Trinité, en les faisant participant de la vie même de Dieu.

Quel mystère que celui de la Trinité. On raconte que Saint Augustin (IV-V siècle), évêque d’Hippone, en Afrique du Nord, se promenait un jour au bord de la mer, absorbé par une profonde réflexion : il cherchait à comprendre le mystère de la Sainte Trinité. Il aperçoit tout à coup un jeune enfant fort occupé, allant et venant sans cesse du rivage à la mer : cet enfant avait creusé dans le sable un petit bassin et allait chercher de l’eau avec un coquillage pour la verser dans son trou. Le manège de cet enfant intrigue l’évêque qui lui demande :

 « –  Que fais-tu là ?

– Je veux mettre toute l’eau de la mer dans mon trou.

– Mais, mon petit, ce n’est pas possible ! reprend Augustin. La mer est si grande, et ton bassin est si petit !

C’est vrai, dit l’enfant. Mais j’aurai pourtant mis toute l’eau de la mer dans mon trou avant que vous n’ayez compris le mystère de la Sainte Trinité ».

  Sur ces paroles, l’enfant disparait. Augustin réalise alors que c’est un ange qui a pris cette forme pour lui faire comprendre qu’il y a des mystères, c’est-à-dire des vérités divines, que l’esprit limité de l’homme ne pourra jamais arriver à comprendre dans leur totalité.

Osons cependant nous frotter à ce mystère. S’il est vrai que trois fois un fait trois, en Dieu l’addition des trois personnes que sont le Père, le Fils et l’Esprit Saint ont pour résultat un seul Dieu. La meilleure définition de Dieu nous est fournie par saint Jean : « Dieu est amour ». Or, le véritable amour ne peut être narcissique, égoïste : il est nécessairement, par essence, tourné vers l’autre (ce qui n’exclut pas, en passant, que l’être humain aie une juste estime de soi). Par conséquent, si Dieu est amour, il faut qu’il soit en lui-même plusieurs. Dieu est en lui-même « famille » : trois personnes qui s’aiment éternellement. Le Père donne tout au Fils qui, en retour se donne entièrement au Père, et de cette circulation d’amour, jaillit l’Esprit Saint, ce souffle d’amour dont la présence nous a été promise par le Christ et dont nous avons célébré l’effusion le jour la Pentecôte.

Le Père, que nous pouvons appeler « Abba », c’est-à dire « papa », nous aime tant qu’il nous a envoyé son Fils pour nous sauver. Celui-ci, afin de ne pas nous laisser seuls, nous a envoyé d’auprès du Père le Saint-Esprit. Bref, nous ne sommes pas seuls : Dieu nous est proche. Ce brasier de vie, de lumière et d’amour que constitue la sainte Trinité, nous sommes promis à y reposer pour l’éternité si nous accueillons librement le salut offert en Jésus-Christ. Oserons-nous faire confiance comme des fils, des filles, à leur Père ? Laisserons nous triompher en nous la foi au Christ plutôt que le soupçon qui a affecté Adam et embrumé de tristesse l’humanité ? Laisserons-nous triompher la joie qui vient de Dieu ? Seigneur, dispose nos cœurs à te faire confiance sur les chemins de nos vies.

Amen.

Nicolas Favart

Temps de prière de la Pentecôte

Lien pour écouter le temps de prière

Texte de l’homélie

HOMELIE EN LA FETE DE LA PENTECOTE

Frères et sœurs,

En ce jour de Pentecôte, nous célébrons le don du Saint-Esprit aux apôtres et à tous les baptisés. Cette fête nous rappelle que tous, nous avons reçu l’Esprit Saint par notre baptême, notre confirmation et notre ordination. L’Esprit Saint semble être le grand oublié, car très peu l’invoquent et le prient. Pourtant, il est incontournable dans nos vies, dans l’Eglise. L’Eglise n’existe que dans et par l’Esprit Saint nous rappelait le pape Jean-Paul II dans Dominum et Vivificantem. Sans ce souffle de vie (pneuma), il n’y a pas de vie ou bien notre vie tombe en ruine. La difficulté à respirer à la suite du Covid 19 nous en dit long. Dès lors, l’ignorance de la place et de l’action de l’Esprit dans notre vie nous dispose à l’essoufflement et amplifie le phénomène des chrétiens qui se déclarent croyants mais non pratiquants. On dirait des chrétiens morts-vivants, mieux encore des ‘chrétiens-zombies’ qui se laissent guider par la chair dont Paul décrit les œuvres néfastes, dévastatrices et déstabilisatrices : inconduite, impureté, débauche, idolâtrie, sorcellerie, haine, rivalités, jalousie, emportements, intrigues, divisions, sectarisme, envies, beuveries, orgies et autres.

Mais la bonne nouvelle est qu’à la différence de tout autre zombie, le ‘chrétien-zombie’ peut revivre s’il se laisse guider par l’Esprit de Dieu. Oui, l’Esprit est décrit comme un souffle, un vent : celui-ci a un dynamisme, une force. En ce sens, il peut pousser à l’action et bousculer tout transformant de l’intérieur. Il fait des apôtres timorés et enfermés dans le Cénacle des prédicateurs courageux. Il peut faire de nous des créatures nouvelles à l’image et à la ressemblance de Dieu. Alors nous pourrions jouir des fruits de l’Esprit que l’apôtre Paul énumère dans l’Epître aux Galates : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur et maîtrise de soi (Ga 5,22-23). Et depuis la première pentecôte, l’Esprit-Saint agit dans l’Eglise pour la guider vers la vérité tout entière. Cette vérité, loin d’être intellectuelle, est la révélation de la plénitude du mystère de Dieu en Jésus, envoyé par le Père pour faire de nous des fils adoptifs de Dieu. L’Esprit Saint est donc notre guide. Pour utiliser le langage moderne, il est comme un GPS dans la voiture. On peut le démarrer ou non. On peut allumer l’Esprit dans nos vies comme on peut l’éteindre. Et si on le démarre, il nous indique et nous suggère le chemin à prendre. Ce GPS est docile, même si on ne lui obéit pas, il poursuit sa mission de nous orienter, de nous ré-orienter. Il ne poursuit qu’un seul but : nous faire parvenir à notre destination. A nous d’en tirer également profit par la docilité à ses inspirations. L’Esprit, comme un feu, cesse d’agir s’il n’y a plus rien à consumer. Ce qui importe c’est de nous ouvrir à son action, pour qu’il brûle nos cœurs de l’ardeur de son amour, de sa joie. Puisqu’il est insaisissable, à nous de nous laisser saisir par lui pour qu’il nous conduise vers la vérité tout entière.

La Pentecôte serait la correction de ce qui se passa à Babel : alors que les hommes y parlaient le même langage et que Dieu les dispersa à la surface de la terre tout en brouillant leurs langues pour qu’ils apprennent la diversité ; à la Pentecôte, ils apprennent l’unité dans la diversité. Désormais, toutes les nations entendent proclamer dans leurs diverses langues l’unique message des merveilles de Dieu. La Pentecôte serait aussi une invitation à consolider l’unité dans la diversité et à éradiquer toute propension à la pensée unique. On ne le dira jamais assez : l’unité n’est pas dans l’uniformité ! La véritable unité de l’amour ne peut se trouver que dans la diversité. Exorcisons dans nos communautés le démon de la division qui a pour corollaire la pensée unique. Invoquons l’Esprit Saint pour qu’il consolide l’unité malgré nos divergences qui sont, en fait, des richesses. Les dons de l’Esprit sont multiples, mais c’est le même Esprit ; il y a diversité de ministères, mais c’est le même Seigneur ; …à chacun la manifestation de l’Esprit est donnée en vue du bien commun » (1Co 12,4-7). Viens Esprit Saint, allume en nous le feu de ton amour.       

                                                                                                                                         Abbé Augustin Lwamba