Category Archives: Culture et foi

Temps de prière du 6ème Dimanche de Pâques

Chers paroissiens et amis de la paroisse,

Vous trouverez ci-dessous le lien pour vous inscrire aux messes de l’Ascension de ce jeudi 13 mai (9h-10h-11h-17h-18h) https://doodle.com/poll/fkdsey9ak7tnpksm?utm_source=poll&utm_medium=link

Ce lundi 10 mai à l’issue de la messe de 9h00 célébrée dans notre paroisse, Gérard, un jeune de notre diocèse part en pèlerinage à pieds jusqu’au sanctuaire d’Ars pour se confier à la prière de Saint Jean-Marie Vianney, le saint curé d’Ars. Il priera à toutes les intentions qui lui seront confiées. Si vous souhaitez lui en confier vous pouvez me les envoyer par mail (alaindemaere@gmail.com) et je le lui remettrai ce lundi. Confions également Gérard au Seigneur dans notre prière.

En vous souhaitant un bon dimanche,

Alain, votre curé.

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Temps de prière du 5ème dimanche de Pâques

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Texte de l’homélie

L’évangile de ce dimanche nous offre, comme chaque évangile, une bonne nouvelle : la bonne nouvelle d’une prière exaucée.

Et quelle est cette prière exaucée c’est-à-dire écoutée par Dieu ? 

C’est une supplication à Dieu pour son peuple, un peuple décrit sous l’image d’une vigne. Et voici cette supplication adressée à Dieu dans cette prière du psaume 79 :

« Du haut des cieux, regarde et vois : visite cette vigne, protège-la »

Ce qui a fait naître cette supplication dans le cœur du psalmiste c’est le piteux état dans lequel se trouve la vigne c’est-à-dire le peuple de Dieu, l’humanité toute entière. Un peuple, une humanité que le psalmiste décrit dans sa prière sous l’image d’une vigne dévastée. Toujours dans sa prière, il n’hésite pas à questionner Dieu sur le pourquoi d’une telle souffrance !

« Pourquoi as-tu percé sa clôture ? Tous les passant y grapillent en chemin ; le sanglier des forêts la ravage et les bêtes des champs la broutent. La voici détruite, incendiée… »

Et quelle est la réponse de Dieu à ce cri de souffrance ?

Sa réponse, nous l’avons entendue dans l’évangile de ce dimanche. La réponse de Dieu à ce cri de souffrance c’est : Je suis la vraie vigne.

En nous disant « je suis la vraie vigne », Dieu, en Jésus, nous dit qu’il a rejoint la vigne que nous sommes au point de devenir lui-même la vigne et de s’identifier ainsi pour toujours à la vigne. Dieu, en Jésus, s’est laissé planter dans la terre. Il est entré dans la vigne. C’est précisément parce que Dieu, en Jésus, a rejoint la vigne au point de dire je suis la vraie vigne qu’il peut sauver cette vigne et nous montrer ce qu’est une vraie vigne c’est-à-dire toute la beauté de notre condition humaine. C’est parce que Dieu s’est fait homme en Jésus qu’Il peut nous montrer ce qu’est la vraie humanité.

Ces paroles de Jésus « Je suis la vraie vigne » rejoignent celle du credo qui dit à propos de Jésus : pour nous les hommes (autrement dit pour la vigne que nous sommes) et pour notre salut il descendit du ciel (autrement dit il a rejoint la vigne)

C’est précisément parce que Jésus a rejoint la vigne abîmée décrite dans la prière du psaume qu’il peut dire je suis la vraie vigne que la vigne ne pourra plus jamais être arrachée, elle ne pourra plus jamais être livrée à l’abandon et au pillage. Elle appartient définitivement à Dieu.

Par le Fils, Dieu lui-même vit en elle. La promesse est irrévocable, l’unité entre Dieu et l’humanité est devenue indestructible comme l’exprime si bien cet extrait d’une prière eucharistique qui dit à Dieu : « Tu as noué entre l’humanité et toi, par ton fils Jésus, un lien si fort que rien ne pourra le détruire »

En disant « je suis la vigne », Jésus nous dit qu’il continue de cette façon à ne faire qu’un avec les siens, avec tous les enfants de Dieu dispersés qu’il est venu rassembler. La vigne signifie désormais l’union indissoluble de Jésus avec les siens qui, par lui et avec lui, sont tous de la vigne et dont la vocation consiste à « demeurer » dans la vigne.                        

La bonne nouvelle que Jésus nous révèle dans l’évangile de ce dimanche lorsqu’il nous dit je suis la vraie vigne : c’est qu’il est inséparable des siens. Dans l’incarnation, Dieu s’est lié lui-même à chacun de nous.

Une autre bonne nouvelle contenue dans l’évangile de ce dimanche c’est que nous pouvons tous, si nous le désirons nous unir à cette vraie vigne qu’est Jésus. Et dans l’évangile de ce dimanche, Jésus nous dit comment nous pouvons vivre de cette bonne nouvelle, comment nous pouvons répondre à cette union que Jésus nous offre entre lui et nous : en demeurant en lui comme lui demeure en son Père et en entretenant cette union.

Ce verbe demeurer revient 8 fois dans l’évangile de ce dimanche (8 c’est le nombre symbolique de la résurrection) et 12 fois au total dans le chapitre 15 de l’évangile de Jean (12 c’est le nombre symbolique de l’Eglise).

Cela veut dire que demeurer est une caractéristique pascale et ecclésiale.  C’est parce que le Christ a vaincu la mort que nous pouvons demeurer attachés à lui pour porter du fruit et c’est parce que sa résurrection est pour tous, que le fait de s’attacher à lui nous relie à nos frères et sœurs, les autres sarments de la vigne.

A la lumière de cette invitation de Jésus à demeurer en lui, je ne serai plus du tout froissé si vous me dites que je suis « demeuré » pour autant bien sûr qu’il s’agisse d’être demeuré en Jésus. Les chrétiens sont donc tous appelés à être des demeurés…en Jésus.

Il y a plusieurs moyens de demeurer en Jésus en s’imprégnant de sa parole au point qu’elle prenne chair en nous en inspirant nos choix, nos façons de voir, nos réactions. « Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples » nous dit Jésus (Jn 8, 31) N’espérons pas demeurer en sa parole sans la fréquenter assidûment, avec ténacité, avec obstination. Rappelons-nous cette parole de Saint Jérôme : « Ignorer les Ecritures, c’est ignorer le Christ »

Pour que cette union entre le Christ et nous perdure et qu’elle porte du fruit, il faut l’entretenir, la purifier, l’émonder de tout ce qui fait obstacle à cette union et peut lui nuire.

De notre union à Jésus, Dieu attend des fruits. Dieu espère de nous des fruits. Dieu ne se contente pas d’attendre de nous des fruits de notre union avec Jésus mais Dieu s’investit pour rendre notre union à Jésus fructueuse. Il s’agit pour nous d’accepter simplement que Dieu entretienne notre union à Jésus. Les gestes du vigneron évoquent les gestes que Dieu pose pour nous dans les sacrements et qui ont pour but de nous aider à demeurer en Jésus.

Le baptême est le sacrement qui nous branche à cette vraie vigne qu’est Jésus permettant ainsi à notre humanité de retrouver sa splendeur première.

Le sacrement de l’eucharistie entretien cette union entre Jésus et nous au point de nous faire devenir ensemble ce que nous recevons le corps du Christ.

Le sacrement de la réconciliation permet à Dieu, tel un bon vigneron de nous émonder c’est-à-dire d’enlever tout ce qui en nous n’est pas porteur des fruits de l’Esprit-Saint

Temps de prière du 4ème dimanche de Pâques

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Texte de l’homélie

Jésus énumère trois caractéristiques qui font de lui le bon pasteur par excellente, le modèle pour tous :

a) Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis.  Cela signifie beaucoup plus qu’être prêt à mourir pour les défendre du loup. Donner sa vie, cela se fait comme l’explique si bien le bienheureux Pierre Claverie goutte à goutte : par un regard, un sourire, un travail, un service dans tout ce que fait que la vie qui m’habite soit partagée, donnée livrée. Donner sa vie pour ses brebis cela signifie que toute sa vie leur est consacrée, d’une façon purement désintéressée, par amour, et non en vue d’un profit, d’une récompense ou d’un salaire.  Celui qui n’aime pas ses brebis plus que sa propre vie n’est pas digne d’être un pasteur.

b) Il y a entre lui et ses brebis une relation personnelle.  Il les connaît individuellement et elles le connaissent. Il ne s’agit pas d’une relation de supérieur à inférieur, mais bien une relation d’amitié.  « Je ne vous appelle pas serviteur – dira-t-il un peu plus tard à ses disciples – car le serviteur n’est pas au courant de ce que fait son maître.  Je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître. » (Jean 15,15).  Un pasteur, selon Jésus, n’est donc pas quelqu’un qui commande, qui organise, qui distribue les directives, mais quelqu’un qui établit une relation d’amitié.  Évidemment, pour qu’il y ait une vraie communauté chrétienne dans l’esprit de Jésus, il doit y avoir réciprocité, c’est-à-dire une véritable relation d’amitié, dans les deux sens.

c) La troisième caractéristique, est la création d’un « troupeau » dont personne ne se sentira exclu.  « J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. »  Jésus affirme que toutes les brebis sont « siennes », même celles qui ne sont pas de son troupeau actuel : « J’ai… d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie…). En disant cela il va à l’encontre de l’exclusivisme, du particularisme et ce faisant il appelle tout pasteur à se sentir concerné par le bien être de l’humanité toute entière.

En ce dimanche, prions donc spécialement pour tous ceux qui, dans l’Église aussi bien que dans la société civile, ont un service pastoral.  Prions aussi pour l’unité de tous les disciples de Jésus et pour l’unité de la grande famille des nations.

Temps de prière du 3ème dimanche de Pâques

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HOMELIE DU TROISIEME DIMANCHE DE PAQUES

Ce dimanche pourrait être appelé le “dimanche du témoignage”. En effet, le christ ressuscité invite se disciples à être ses témoins par le monde entier. Dans l’Évangile, alors même que les disciples qui revenaient d’Emmaüs étaient en train de raconter aux onze apôtres et à leurs compagnons ce qui s’était passé sur la route et comment ils avaient reconnu le Seigneur quand il avait rompu le pain, Jésus lui-même était là au milieu d’eux et il se fit reconnaître. Non ce n’est pas un esprit. Il est celui-là même qui a subi la Passion. Ses mains et ses pieds en gardent la trace. C’est bien le Crucifié qui est revenu à la vie. Il leur fait constater qu’il est vraiment ressuscité.

Cette rencontre extraordinaire a été un bouleversement pour les apôtres. Avec amour et patience, Jésus leur explique tout ce qui était écrit dans la loi de Moïse, les prophètes et les psaumes. Et c’est ce qu’il continue à faire le dimanche : quand nous nous rassemblons à l’église, il est là bien présent au milieu de nous. Il vient raviver notre foi ; il nous nourrit de sa Parole et de son Corps. Puis il nous envoie en mission pour témoigner de la foi qui nous anime. Ce qui nous est demandé, ce n’est pas de rester entre chrétiens à l’intérieur de l’Église. En effet, l’apparition du ressuscité à ses apôtres se termine par ces paroles : « Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait, qu’il ressusciterait d’entre les morts le troisième jour, et que la conversion serait proclamée en son nom, pour le pardon des péchés, à toutes les nations, en commençant par Jérusalem. A vous d’en être les témoins. » Tout ce que le Christ demande à ses disciples c’est d’être ses témoins. Donc notre témoignage doit rejoindre tous les hommes, en particulier ceux qui sont dans les “périphéries”, ceux qui ne connaissent pas le Christ, ceux qui n’ont pas célébré Pâques. Pour cela, nous ne pouvons pas nous contenter de belles paroles. Jésus ne nous a pas envoyés pour cela. Le plus important c’est de tout faire pour que ces paroles se traduisent en actes dans nos vies. Il faut que nous soyons de plus en plus ajustés à cet amour qui est en Dieu. En y regardant de près, nous reconnaissons que nous sommes loin du compte. Mais le Seigneur n’a jamais cessé de nous aimer. S’il nous offre son pardon, c’est pour que nous puissions devenir de vrais témoins de la foi. Pour être de vrais messagers du Christ, nous avons besoin d’être complètement imprégnés et habités par sa présence. C’est SA lumière, SON amour que nous avons à communiquer au monde d’aujourd’hui. Si nous ne prenons pas le temps de l’accueillir dans notre vie, rien ne se passera. Nous serons comme le sel affadi qui n’est plus bon à rien.

C’est en ce sens que la première lecture de ce jour nous parle du discours-témoignage de Pierre après la guérison de l’infirme de naissance à la Porte du Temple. Alors que tout le monde avait les yeux fixés sur lui à cause du miracle qu’il venait d’opérer, Pierre s’adresse à la foule stupéfaite et explique que ce n’est pas par ses propres forces qu’il a pu opérer cette guérison. C’est Jésus, celui-là même que vous aviez livré ; vous aviez renié en présence de Pilate, qui était décidé à le relâcher, que vous aviez rejeté, ce Saint et ce Juste que vous avez renié tout en demandant qu’on vous accorde la grâce d’un meurtrier, LUI le chef des vivants que vous avez tué ; mais que Dieu a ressuscité d’entre les morts, c’est lui qui est le principal acteur de cette guérison. Pierre ne rate pas cette occasion pour prêcher qu’il est témoin de sa résurrection. Pour terminer son discours, Pierre invite ses auditeurs à se convertir et à revenir à Dieu.

C’est aussi cet appel que nous adresse saint Jean dans la 2ème lecture : “Je vous écris pour que vous évitiez le péché.” C’est donc un appel à ne pas nous détourner de l’amour de Dieu et de nos frères. “Mais si l’un de vous vient à pécher, nous avons un défenseur devant le Père, Jésus le Juste.” Jésus devient notre premier défenseur auprès du Père, notre premier avocat ; Voilà une bonne nouvelle de la plus haute importance. Il nous faut tout faire pour qu’elle soit proclamée partout dans le monde. Le Christ ressuscité n’a jamais cessé de vouloir ramener tous les hommes à Dieu.

L’Évangile de ce dimanche nous rappelle avec force qu’à l’instar des disciples d’Emmaüs, deux moments importants nous sont désormais offerts pour rencontrer le Christ :

1° L’écoute de la Parole : Lire les Écritures, prier les psaumes, prendre le temps d’approfondir sa foi, c’est entrer dans le plan de Dieu. C’est se préparer à recevoir le Christ. Profitons de cette chance qui nous est encore offerte de lire la Bible librement pour remplir notre cœur et notre vie de la joie de l’évangile en y découvrant le Christ qui vient toujours à notre rencontre quand nous lisons l’Ecriture. Notre cœur n’était-il pas tout brûlant tandis qu’ils nous entretenaient en chemin, s’étaient exclamés les disciples. Laissons notre cœur brûler à la flamme de l’amour qui jaillit des Ecritures.

2° La Fraction du Pain (C’est le nom qui était donné à l’Eucharistie). Profitons aussi de ce moment privilégié qui nous est offert pour recevoir dans nos mains, puis dans nos cœurs le Seigneur qui vient nous rassasier de toutes nos faims de justice, d’amour, de paix, de droiture. C’est là que nous puisons nos forces en vue de la mission que le Seigneur nous confie pour être ses témoins.

                                                                                                                             Amen !

                                                                                                              P. Augustin Lwamba

Catéchuménat 2021

Catéchuménat 2020-2021

Les 3 et 4 avril derniers, durant la Veillée pascale et le dimanche de Pâques, nous avons eu la joie de célébrer les sacrements d’initiation (Baptême, Confirmation et Eucharistie) de 6 jeunes de notre paroisse. Bien que les circonstances sanitaires n’aient pu permettre la participation d’un plus grand nombre de nos paroissiens, ce furent des moments très agréables et de grâces.

À la Vigile pascale, les sacrements ont été conférés à 3 jeunes (Francesco, Bobia et David) par le curé de notre paroisse, le père Alain qui présidait l’eucharistie.

Le dimanche de Pâques, ce fut le tour de 3 autres jeunes (Lise, Elisabeth et Carmen) qui ont reçu les sacrements des mains de Monseigneur Jean-Luc Hudsyn, évêque auxiliaire pour le Brabant Wallon qui a célébré la messe de 11h en présence de quelques paroissiens et des amis de la Sapinière.

Lorsque nous avons posé la question, à chacun d’eux, de savoir pourquoi il/elle voulait se faire baptiser et recevoir la confirmation (pour Francesco), ils ont répondu selon leurs convictions :

  • David (14 ans) : « J’ai envie d’être baptisé pour avoir la bénédiction du Christ dans tout ce que je fais : le foot, l’école, ma vie ».
  • Bobia (17 ans) : « En demandant le baptême, j’ai fait le choix d’être reconnue comme chrétienne et d’officialiser ainsi ma foi et ma relation avec le Seigneur »
  • Lise-Ester (15 ans) : « j’ai voulu être initiée au christianisme qui a de si bonnes valeurs ».
  • Francesco (17 ans) : « j’ai souhaité être confirmé pour recevoir le Saint-Esprit, mais aussi connaitre les prières en français » 
  • Elisabeth (23 ans) : « j’ai désiré me faire baptiser car je veux entrer dans la communauté chrétienne et me rapprocher de Dieu, mieux comprendre les messages du Christ à travers la Bible » 
  • Danielle Carmen (25 ans) : « j’ai voulu me faire baptiser pour connaître Dieu et m’en remettre à lui ».

Le père Alain qui les a admis au catéchuménat et à la catéchèse de confirmation (pour Francesco) les a confiés à Rebecca et à moi pour les accompagner. Nous sommes heureux d’avoir rendu ce service et de les avoir présentés pour les sacrements les jours de Pâques.

Tout au long de leur cheminement, nous avons été très édifiés et encouragés par leur dynamisme, leur engagement, leur participation et leur présence régulière tant en Zoom, via WhatsApp qu’en présentiel.

Chacun d’eux résume son cheminement en un mot :

  • David et sa sœur Bobia : « bénédiction » 
  • Lise-Ester : « transformation » 
  • Francesco : « j’ai appris beaucoup de prières en français » 
  • Elisabeth : « révélation » 
  • Danielle Carmen : « instructif »

C’est donc, au nom du curé, de la communauté paroissiale Sainte Étienne et de toute la communauté que nous les avons présentés pour les sacrements. Merci pour leurs témoignages de foi et plein épanouissement dans leur nouvelle vie de chrétien : COURAGE ET PERSÉVÉRANCE à la suite du Christ, vainqueur de la mort et du péché.

Notre reconnaissance à l’Abbé Alain de Maere pour sa confiance et son accompagnement.

Thaddée Nzazi, séminariste

J’ai su saisir la chance que j’avais d’être catéchiste, et ce dès le début de l’aventure.

Quelle joie de rencontrer sept jeunes souhaitant faire la connaissance de Jésus ; 

Quel bonheur de recevoir leurs questions, qui ne cessent d’être matière à débat. Effectivement, ces discussions sont de nature à mettre en avant la force de ma foi ; 

Quelle douceur que de saisir le message de textes, qui n’avaient peut-être pas pu être préalablement compris ; 

Quelle réjouissance que de voir que l’on arrive à l’évènement tant attendu, et que ces jeunes n’ont rien lâché malgré des circonstances que l’on peut considérer comme étant des obstacles dans leur cheminement ; 

Et pour terminer, quel régal de voir ces jeunes baptisés/confirmés satisfaits et fiers du chemin parcouru ; et leurs accompagnateurs tout autant.

Rebecca, catéchiste.

Témoignages des jeunes et du père de deux d’entre eux :

Elisabeth :

J’ai vécu mon baptême, tout d’abord dans le stresse car j’ai eu peur de faire de faux pas durant la cérémonie, de me tromper dans les étapes à suivre. Mais finalement cela s’est bien passé. 

Ensuite, une fois baptisé, j’ai été heureuse car je me suis dit, enfin je suis rentrée dans la communauté chrétienne après tant d’années d’attente et d’espérance. 

Enfin, une fois confirmer je me suis dit là, je me suis vraiment rapprochée de Dieu, et que je vais plus m’impliquer dans la vie chrétienne. Je dois aussi dire que j’avais dû mal à réagir que ça soit enfin réalisé. C’est comme un rêve qui devient réalité.

Lise :

J’ai vécu mon baptême et ma confirmation en étant curieuse du déroulement et un peu stressée.

Je suis contente d’être désormais une vraie chrétienne.

Séraphin (papa de Bobia et David) :

C’était vraiment très émouvant et cela fait du bien dans l’esprit pour la foi en Dieu notre Sauveur. Gloire à Dieu !